Le participe passé employé avec l’auxiliaire ÊTRE n’est plus un jeu d’enfant si la vie se mêle de troubler l’apparence  -  il ou  elle  - et parfois les deux en même temps.

La personnalité reste intacte alors que le choix est impossible quand il ne s’impose pas.

Il y aura donc dans ce récit tragique un mélange d’accords féminins et masculins. Car on ne sait plus qui est qui ; le délire chez une personne qui se bat pour chercher un équilibre vital dans une tentative d’harmonie naturelle et instinctive.

Être ou ne pas être n’est plus un conte, mais un dilemme de souffrance, sans solution, sans responsabilité autre que la nature de la vie, et on lui laissera l’ombre d’un doute en dernier mot.